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Le rendement historique du marché actions US de 10 % par an est devenu un pilier des stratégies d'investissement. Cette statistique, largement diffusée, alimente les projections financières et rassure les investisseurs sur les perspectives à long terme. Pourtant, s'appuyer uniquement sur cette moyenne pour prendre des décisions patrimoniales présente des risques significatifs que tout investisseur devrait comprendre.
Sur le marché immobilier suisse, la question du taux hypothécaire capte souvent l’attention. Il est vrai qu’une différence de quelques dixièmes de pourcent peut représenter plusieurs centaines de francs par an. Pourtant, cet indicateur est loin d’être le facteur décisif dans la maîtrise du coût global d’un financement. Le véritable levier d’optimisation réside dans la stratégie hypothécaire elle-même : son modèle, sa durée, et sa capacité à s’adapter aux imprévus de la vie.
Accéder à un logement de qualité devient un défi croissant pour les classes moyennes suisses. Alors que les loyers augmentent, que les prix de l'immobilier atteignent des records et que les conditions d’octroi de crédits hypothécaires se durcissent, de nombreux ménages se retrouvent dans un vide : trop aisés pour bénéficier d’aides, trop modestes pour acheter.
Travailler à son compte : nombreux sont ceux qui, à un moment de leur parcours, envisagent de franchir le pas de l’indépendance. Avant de se lancer, il est essentiel de comprendre le cadre légal, fiscal et administratif dans lequel s’inscrit une activité indépendante.
En Suisse, le concubinage ne bénéficie d’aucune reconnaissance particulière dans la loi. Pourtant, de nombreux couples partagent leur vie, achètent un bien immobilier, élèvent des enfants… sans être mariés. Ce choix de vie, parfaitement légitime, peut cependant entraîner des conséquences lourdes si aucune mesure n’est prise, notamment en cas de décès ou de séparation.
Depuis jeudi 19 juin, la Banque nationale suisse (BNS) a abaissé son taux directeur à 0 %. Une décision historique qui s’inscrit dans un contexte économique très favorable. Croissance modérée, inflation maîtrisée, franc fort : autant de signaux qui donnent à la BNS une marge de manœuvre pour stimuler encore un peu plus l’activité intérieure.
La famille Perrin part au Canada pour rendre visite à des proches. À leur arrivée à Montréal, aucun bagage à la sortie. Tout a été égaré : vêtements, affaires des enfants, médicaments. Pensant être bien couverts via une assurance liée à leur carte de crédit, ils découvrent que le pays de destination est exclut de cette couverture.
Les produits structurés occupent une place croissante dans l'offre bancaire suisse, présentés comme des solutions d'investissement capables de générer des rendements même en période de stagnation des marchés.
Le vieillissement de la population suisse, conjugué à l'augmentation des maladies neurodégénératives et des accidents vasculaires cérébraux, pose une question cruciale encore insuffisamment débattue : qui prendra les décisions si je ne suis plus en mesure de le faire ?
À l’approche de la retraite, le système suisse offre aux assurés une possibilité rare : percevoir une rente mensuelle à vie ou retirer leur avoir de prévoyance sous forme de capital. Cette flexibilité, en apparence simple, cache l’une des décisions les plus engageantes et complexes en matière de gestion partimoniale.